Actualité Avec l’été, le moustique tigre refait surface : soyons vigilants ! Social / Santé /Solidarité Zoom de l'image Avec l’arrivée des beaux jours, un invité indésirable refait parler de lui : le moustique tigre. Connu sous son nom scientifique Aedes albopictus, ce petit insecte noir rayé de blanc s’est imposé comme un véritable fléau estival dans de nombreuses régions du monde, y compris en France. Pour plus d'informations, je télécharge le dépliant préventif. Un envahisseur mondial Originaire des forêts tropicales du sud-est asiatique, le moustique tigre a profité de la mondialisation et du développement des transports pour étendre son territoire. Arrivé en France au début des années 2000, il ne cesse depuis de progresser, colonisant progressivement les départements de métropole. En 2015, il était déjà présent dans une trentaine d’entre eux, et la tendance ne cesse de croître. Un danger pour la santé publique Au-delà de sa nuisance par ses piqûres diurnes, le moustique tigre est un vecteur potentiel de maladies graves telles que la dengue, le chikungunya ou encore le virus Zika. Sa prolifération représente donc un enjeu de santé publique majeur, qui appelle à la vigilance et à la responsabilité de chacun. Des gestes simples pour freiner sa progression Le moustique tigre se développe dans de petites quantités d’eau stagnante, que l’on peut facilement retrouver dans nos jardins, balcons ou cours : soucoupes de pots de fleurs, récupérateurs d’eau, gouttières bouchées, jouets d’enfants ou encore bâches mal tendues. La lutte commence donc chez soi, avec des gestes simples mais efficaces : Vider régulièrement tous les contenants d’eau stagnante. Couvrir les réservoirs et bidons. Nettoyer les gouttières et regards. Changer l’eau des plantes et des animaux chaque semaine. Éviter de laisser traîner des objets pouvant retenir l’eau de pluie. Comment reconnaître le moustique tigre ? Petit (moins de 1 cm), il se distingue par son corps noir zébré de rayures blanches sur les pattes et le thorax. Actif principalement en journée, il vole lentement et pique généralement autour des chevilles ou des bras. Ensemble, soyons acteurs de la lutte contre le moustique tigre. Chaque geste compte pour éviter sa prolifération. En supprimant les zones de ponte autour de nos habitations, nous contribuons à protéger notre santé et notre environnement.
"J’habille ma rue" : un projet artistique participatif en Bastide Saint-Louis Actualité "J’habille ma rue" : un projet artistique participatif en Bastide Saint-Louis